


CONTINENT ÉROTIQUE - YUYI CHEN / TRADUIT PAR SALOMÉ MERCIER
Précommandes ouvertes pour le Continent Érotique de Yuyi Chen, traduction Salomé Mercier, expédié le 1/10, disponible au Royaume-Uni et en Europe uniquement
L’écran allumé, le centre commercial fracturé, une invasion de fourmis dans un appartement — les mondes que crée Yuyi Chen s’effondrent et se refont dans Continent Érotique, soulignant la nature spéculative de la dislocation. « Ce qui est en moi est à présent au-dehors », écrit Chen, « ce qui est au-dehors s’élève au-dessus des corps / d’un passé glorieux ». Lire ces poèmes donne l’impression d’avancer à travers un rêve, le sol en mouvement au-dessous de soi, vers un retour aux sources — internes et externes, imaginées ou réelles.
Emily Lee Luan
Anthropologue culturel.le et phénoménologue queer, Yuyi Chen cartographie des paysages socio-politiques et interpersonnels avec un compas biaisé et dévié par les pouvoirs du désir et de la survie en ville. Son language simple est un élément de l’intrigue d’un conditionnel diasporique, dont les coordonnées sont volontairement tendres, délicieusement floues, d’une irrévérence décadente et d’un entropisme délirant. Son lyrisme nous rappelle le kitsch acidulé de Hsia Yu, le style picante, pinyin et picaro de John Yau — mais en réalité c’est tout Yuyi ; une voix contemporaine unique. Non, pas moyen de baisser la température. À lire.
Aristilde Kirby
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L’écran allumé, le centre commercial fracturé, une invasion de fourmis dans un appartement — les mondes que crée Yuyi Chen s’effondrent et se refont dans Continent Érotique, soulignant la nature spéculative de la dislocation. « Ce qui est en moi est à présent au-dehors », écrit Chen, « ce qui est au-dehors s’élève au-dessus des corps / d’un passé glorieux ». Lire ces poèmes donne l’impression d’avancer à travers un rêve, le sol en mouvement au-dessous de soi, vers un retour aux sources — internes et externes, imaginées ou réelles.
Emily Lee Luan
Anthropologue culturel.le et phénoménologue queer, Yuyi Chen cartographie des paysages socio-politiques et interpersonnels avec un compas biaisé et dévié par les pouvoirs du désir et de la survie en ville. Son language simple est un élément de l’intrigue d’un conditionnel diasporique, dont les coordonnées sont volontairement tendres, délicieusement floues, d’une irrévérence décadente et d’un entropisme délirant. Son lyrisme nous rappelle le kitsch acidulé de Hsia Yu, le style picante, pinyin et picaro de John Yau — mais en réalité c’est tout Yuyi ; une voix contemporaine unique. Non, pas moyen de baisser la température. À lire.
Aristilde Kirby
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L’écran allumé, le centre commercial fracturé, une invasion de fourmis dans un appartement — les mondes que crée Yuyi Chen s’effondrent et se refont dans Continent Érotique, soulignant la nature spéculative de la dislocation. « Ce qui est en moi est à présent au-dehors », écrit Chen, « ce qui est au-dehors s’élève au-dessus des corps / d’un passé glorieux ». Lire ces poèmes donne l’impression d’avancer à travers un rêve, le sol en mouvement au-dessous de soi, vers un retour aux sources — internes et externes, imaginées ou réelles.
Emily Lee Luan
Anthropologue culturel.le et phénoménologue queer, Yuyi Chen cartographie des paysages socio-politiques et interpersonnels avec un compas biaisé et dévié par les pouvoirs du désir et de la survie en ville. Son language simple est un élément de l’intrigue d’un conditionnel diasporique, dont les coordonnées sont volontairement tendres, délicieusement floues, d’une irrévérence décadente et d’un entropisme délirant. Son lyrisme nous rappelle le kitsch acidulé de Hsia Yu, le style picante, pinyin et picaro de John Yau — mais en réalité c’est tout Yuyi ; une voix contemporaine unique. Non, pas moyen de baisser la température. À lire.
Aristilde Kirby